La méthode PNO®

Toutes les explications pour devenir futurs formateurs de la méthode PNO® (Programmation Neuro-Oculaire)
Audios et retranscriptions écrites

Il y a plusieurs niveaux d’activateurs. Il y a l’activateur qui pratique la PNO dans son cabinet, en libéral en tant que coach, thérapeute est une personne qui va faire des recommandations concernant les capsules afin d’avoir du marketing de réseau en pourcentage. Ensuite, il y aura un autre activateur, qui lui va former des futurs professionnels d’accompagnement en utilisant cette technique. Donc tu vois, il y 3 grandes familles d’activateurs, 3 stratégies en fonction de ton entrée c’est-à-dire que tu peux être :

  • Stratégie 1 : faire de la recommandation car ça lui plait
  • Stratégie 2 : lorsque tu es un professionnel de l’accompagnement, je vais être dans un annuaire et tu bénéficie d’une communication
  • Stratégie 3 : où tu vas carrément former de futurs praticiens en PNO.

Et le public il se retrouve où ?

Dans les capsules PNO car elles sont pour le public et au-delà de la capsule ça peut être la personne qui va faire des recommandations. Il achète et en recommande à d’autres personnes

  • Le public il va s‘y retrouver comment dans ces capsules, qu’est qu’il va trouver si par exemple moi, Mme lambda, j’arrive sur la PNO qu’est-ce que je peux en tirer pour moi ?

Alors tu verras la présentation des différentes capsules qui vont présenter les champs d’intervention comme la douleur, haut potentiel ou haut projecteur (ou haut-parleur), la résilience.

  • C’est quoi résilience ?

Sur la capsule tu trouveras sa définition, tu verras une petite présentation de ¾ lignes systématiquement selon le sujet.

  • Et si on faisait le lien entre les professionnels et le public PNO, qu’en serait l’aboutissement de tout ça ?

Spontanément la réponse qui me vient c’est être la meilleure version de soi-même. Certes c’est du déjà vu mais dans le fond c’est bien le fait de se reconnecter à soi-même, de favoriser une relation de l’être à l’être.

  • Et à quoi ça va mener de se retrouver en soi ?

Du coup, plus besoin de travailler sur un problème car on est aligné avec soi-même. Autrement dit les problématiques n’ont plus de raisons d’être car tu te retrouves dans ton essence. Alors les questions les dualités ne sont plus présentes car c’est lorsqu’on est désaligné de cette essence que l’on commence à avoir des problématiques.

  • Si je n’ai plus de problématique, que serait la vision de ma vie dans un monde de demain ?

Te sentir vivant, heureux, libre dans un espace où tu peux se créer en réalité, où le champ des possibles infini.

  • Et ça apporterait quoi à toutes ces personnes d’avoir accès à ceci ?

De se réveiller

  • Pourquoi ?

Pour qu’à la fin de sa vie, on ait l’impression de ne pas avoir dormir et pour que l’on apprenne à écouter cette voix intérieure pour plus d’épanouissement.

  • Un monde épanoui serait synonyme de quoi pour toi ?

D’aboutissement, de liberté, d’ouverture, de partage, de générosité, de cohésion avec les élémentaires

  • Concrètement comment ça se matérialisait dans le futur ?

Par la fin de mon métier, c’est-à-dire celui de l’accompagnement !

  • Tu n’as pas l’impression que l’on va t’accuser de mettre fin à la branche d’activité ?

On me l’a déjà dit dans des webinars mais je leur réponds qu’être bien dans une société qui est malade n’est pas une preuve de bonne santé.

  • Et la PNO s’adresserait plutôt à des adultes ?

Dans la pratique c’est-à-dire d’utiliser l’outil PNO dans l’accompagnement, je m’adresse aux adultes. En revanche l’accès à la technique s’adresse à tout le monde, et ce même aux enfants. Chacun devient autonome selon son envie.

  • Et toi Evrard, à quoi tu aspires en mettant à disposition des personnes cette méthode ?

Mon objectif est de permettre aux gens qui seront investis, inspirés et qui seront attirés par la PNO de contribuer à un monde meilleur. Autrement dit c’est de voir le miroir de son monde intérieur. Plus l’intérieur sera lumineux et plus l’extérieur le sera.

Juste l’activateur je veux que les personnes trouvent leurs propres moyens de s’activer par eux même. C’est à ce que sert la PNO parce qu’elle reprend le pouvoir du cœur sur le modèle du cerveau, le fonctionnement du cerveau. C’est-à-dire qu’effectivement on se coupe la branche sur laquelle on est assis en tant qu’accompagnant mais tant mieux.

Le but c’est d’éveiller le maximum de personne. Ça incite l’accompagnement.

–  J’ai senti avec Micka qui avait dit c’est fini mon temps pour alerter maintenant je construis ce que j’ai envie de voir arriver. Et pour moi maintenant là c’est ça : mettre en pratique ce que l’on veut voir se matérialiser et accompagner les personnes qui sont prêtes. C’est se mettre au service de ceux qui sont dans cette recherche. Après oui on a vu qu’il y a beaucoup de charlots […]

  • Qu’est-ce qui a fait que tu en es arrivé là ? Qu’est ce qui a déclenché chez toi l’envie de créer cet outil ?

En fait ça suit un cheminement, j’ai eu un cheminement où j’étais à côté de moi c’est-à-dire que j’avais des activités professionnelles qui étaient rémunératrices et j’avais mon égo qui prenait toute la place dans une grosse voiture. J’avais tous les plaisirs divers et variés qui s’offraient à moi. J’avais ce que beaucoup de personnes peuvent appelés la vie rêvée. Mais elle m’enfermait car extrêmement intense et mon cops a dit stop. Donc j’ai eu des maux physiques et j’ai fini par être licencié pour inaptitudes au poste. En même temps j’ai eu des problèmes personnels, un divorce. C’est à ce moment-là que la vie m’a emmené en face le visage de ce que je donnais à voir aux autres et qui n’était pas moi. Je me suis pris une grosse claque. Donc je me suis posé une seule question : Est-ce que c’est vraiment ce que je veux transmettre de moi ? […] Donc j’ai travaillé sur moi, je me suis fait accompagner, j’ai remis en question et je me suis pris au jeu de découvrir des techniques que je ne connaissais même pas […]

J’avais la curiosité l’envie, le désir de comprendre comment le cerveau fonctionnait. C’est comme ça que j’ai fini par accompagner des gens. C’est la vie qui m’a amené à moi cela tout simplement parce que j’étais aligné avec moi-même. A travers la PNO, je tente d’accompagner des personnes pour qu’eux à leur tour soit en aligner avec eux-mêmes. S’ils sont en accord avec eux-mêmes, la vie leur amènera ce qu’il il ont besoin sur le moment […] C’est du cadeau en permanence.

  • Qu’est-ce que tu appelles être aligné ?

Pour certains ça va être un ressenti d’être bien d’être heureux de na pas se poser de questions

Pour d’autres ça va être une vision différente sur son environnement, dans ses relations

Pour d’autres encore, ça sera de pouvoir entendre des sons, des voix, des messages ou encore d’entendre ce qui est dit quand une personne communique avec lui avec un autre angle de perception.

C’est multiple et c’est propre à chacun

Le seul point en commun est la joie […]

Et tout ça développe de l’inspiration, de l’envie, de l’imagination, de la créativité, de la fraternité, de la communication, du plaisir… c’est être en évolution

  • Est-ce que l’on pourrait dire que l’on doit attendre que les choses viennent à nous ?

Il faut être en capacité de recevoir.

Je suis au bout du monde c’est être heureux autrement qu’à travers de la matérialisation.

  • Et cette petite voix dont tu parles, comment on y accède ?

Il y a de multiples façons d’y accéder, il y a qui médite, qui vont vivre des expériences extrêmes, troublantes qui vont faire un burn out, qui vont se remettre en question parce que la vie, la santé, l’environnement social, des professionnels de l’accompagnement qui leur pousse à y accéder […]

  • Et toi quand tu l’as créé, qu’est ce qui t’a motivé ?

Pareil comme je disais pour quand j’ai commencé […] Maintenant c’est une autre enfant que je veux et je veux lui transmettre à elle symboliquement et aux autres générations la possibilité de se rende autonome par rapport à un environnement social, scolaire, vraiment au sens large. L’idée c’est qu’ils se sentent plus libre d’être acteurs de leur vie. Cet outil en lui-même, on ne peut pas dire qu’il s’agit d’une création c’est plutôt un aggloméra de plusieurs pratiques comme l’hypnose, la PNL, les mouvements oculaires, des connaissances sur les neurosciences en général […].

 

  • Et qu’est-ce qui fait qu’on n’a pas eu cet accès auparavant ?

On l’a régulièrement mais on n’en a pas conscience. Quand je te pose une question, nos yeux vont vers les mouvements, les angles, ils vont chercher l’information. C’est modéliser l’existence, ce qui se fait déjà.

  • Alors pourquoi cet outil n’existait pas avant ?

Je ne sais pas, c’est une bonne question. Peut-être qu’il n’y avait peut-être pas l’urgence qu’il y a aujourd’hui […]. La différence est que ces techniques sont concentrées et orientées vers un objectif : l’automatisation, que les gens deviennent autonomes. Individuellement c’est plein de petits morceaux qui existent déjà et connus, pas du grand public mais connus tout de même […] On ne peut plus passer en 5, 6 ans en analyse, en psychanalyse ou en accompagnement, on n’a plus le temps. Les générations actuelles c’est maintenant dont elles ont besoin de se raligner avec soi-même. […] Cette méta outil (la PNO) a plus une fonction préventive […].

  • Et qu’est ce qui a fait qu’un bon matin tu vas créer cet outil ?

Ce n’est pas une révélation. C’est l’accumulation de ces tous ces outils que j’ai appris pendant des années et qui sont supers […] C’est alors un combo de tout ça mais en simplifié car en quelques balayages de mouvements oculaires, on n’a compris ce qu’il se passe.

  • A l’occurrence une personne qui souhaiterait s’aligner avec cette méthode, elle peut accéder à cet alignement ?

Oui à plusieurs conditions qu’il en ait envie d’une part et qu’il se fasse du training, qu’il s’entraîne, il y une phase d’apprentissage pendant 21 jours tout seul. Il va s’entrainer à bouger ses yeux selon des points spécifiques correspondants à des questions qu’il va se poser qui sont aussi spécifiques et prendre conscience que son regard s’en va régulièrement dans ses espaces là. Donc les yeux sont en fait le miroir de l’âme.

La finalité c’est que l’on soit plus des accompagnants

  • Et donc si on en a plus besoin pourquoi en former ?

Parce qu’il faut bien transmettre cette technique-là. Il n’y a pas que les capsules qui vont permettre d’aller trouver son essentiel. Parfois il est nécessaire d’aller décortiquer, défaire, dénouer des croyances, des problèmes qui ont été accumulés et revenir sur la blessure […] donc il y a une partie de soin par moment qui sera utile pour certaines personnes. Donc ceci permet de faire de l’accompagnement plus personnalisé pour ceux qui en ont besoin et il y a encore une grande partie de gens qui en besoin et c’est tout à fait entendable.

  • Je t’ai entendu parler de rémunération. Alignement et rémunération : est-ce que ça va de pareil

Oui bien sûr c’est tout à fait cohérent. Tout travail mérite salaire qui peut être rémunéré à travers un financement, de l’argent ou ça peut être sous d’autres formes actuelles ou à venir […]

  • Parce que tu parles de don dans la première partie, c’est que quelque part tu souhaites enlever l’accessibilité à travers l’argent

Oui je veux que ce soit accessible au plus grand nombre. Parfois même des capsules à une vingtaine d’euros pour certaines personnes c’est déjà beaucoup ou au tout cas ce n’est pas leur priorité […]

Donc je ne veux pas que ce soit réduit aux personnes qui ont les moyens de se les payer. Après il y aussi le besoin pour ces personnes qui fabriquent et qui font ces capsules et qui investissent du temps, de l’énergie et de l’argent, d’avoir ce retour-là. Ensuite il y a tout une série d’autres capsules plus spécifiques qui elles sont payantes et qui pourront donner à une rémunération aux participants. Donc c’est à la fois juste de part et d’autre et aussi pour ceux qui les font.

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